Le slashing est l’art de composer sa vie professionnelle en cumulant, en mêlant plusieurs métiers et/ou activités. Le phénomène du slashing est une approche multidimensionnelle du travail, s’apparente à la polyactivité choisie.
Par exemple :
Aujourd’hui en France, le slashing est une tendance émergente du travail, choisie par 6 millions d’actifs !
En 2022, en France 26% des actifs, soit plus d’1/4 des actifs sont slasheurs.
Ils représentaient 16% des actifs en 2016.
Etude “Slasher economy :Une vie professionnelle peut en cacher d’autres ” SME – Createst
Selon les spécialistes du travail, le slashing, au-delà d’une simple tendance, s’impose comme un phénomène de société incontournable :
96% des slasheurs le sont par CHOIX et non par nécessité (comme nous pourrions le supposer dans un contexte de crises multiples.
Alors qu’ils n’étaient que 70% en 2016 à le vivre par choix.
Le slashing est aujourd’hui, une tendance du travail en plein essor, à laquelle nous ne pouvons échapper.
En 2022, en France 26% des actifs, soit plus d’1/4 des actifs sont slasheurs.
Ils représentaient 16% des actifs en 2016.
Etude “Slasher economy :Une vie professionnelle peut en cacher d’autres ” SME – Createst
Selon les spécialistes du travail, le slashing, au-delà d’une simple tendance, s’impose comme un phénomène de société incontournable :
96% des slasheurs le sont par CHOIX et non par nécessité (comme nous pourrions le supposer dans un contexte de crises multiples.
Alors qu’ils n’étaient que 70% en 2016 à le vivre par choix.
La polyactivité peut consister en différentes combinaisons d’activités, comprenant la formation. Ces activités peuvent s’exercer dans :
Il y a autant de slasheurs que de façons de slasher
Chaque slasheur a sa façon de travailler en « mode slash ». Souvent au départ, sans mode d’emploi, sans modèles, le slasheur, quel qu’il soit, doit composer sa vie entre tous ses slashs, à la manière d’un chef d’orchestre. Il n’a pas d’autres solutions que d’inventer une organisation « sur mesure » entre ses différentes activités. En sachant que celle-ci n’est jamais figée, puisque le slasheur n’est pas à l’abri de s’enticher d’un nouveau « dada » et d’ajouter une nouvelle pièce à son puzzle.
Mais ce « sur-mesure » lui offre aussi la souplesse indispensable pour organiser sa vie comme il l’entend, et privilégier ainsi son équilibre
Majoritaire dans nos sondés (76%), le slasheur prudent adopte la sécurité de l’emploi avec un CDI en activité principale ou secondaire.
Cumul entre activité sûre et alimentaire avec un emploi de passion plus gratifiant.
20% le slasheur précurseur libéré du CDI en freelance ou auto-entrepreneur.
C’est souvent dans la catégorie des jeunes 18-35 ans (43%). Objectif : avoir une vie professionnelle riche, passionnante et épanouissante.
Le slashing permet de tester un projet nouveau ou une reconversion professionnelle en toute sécurité en la débutant en activité secondaire ou encore une activité complémentaire pour leur retraite.
Peu présent dans l’étude
Tous centres d’intérêt embrassés), sont inspirés de profils décrits Margaret Lobenstine
Selon Emilie Wapnick, les activités des slasheurs n’auraient pas vraiment de liens entre elles. J’avoue que sur ce point, je ne partage pas son analyse.
Selon moi, en prenant le temps d’explorer ce que ces différents slashs racontent de chaque personne, on finit toujours par identifier un lien. Ce lien qui traduit la raison d’être de chacun. Depuis plus de dix ans, que j’accompagne des slasheurs, aucun n’est sorti d’une de mes master-class, sans avoir trouvé ce fil conducteur, véritable sésame du slasheur. Même quand ils avaient parié qu’on n’en trouverait aucun.
Ces profils privilégient un métier, une activité sécurisante, stable. Et mobilisent leur temps libre, comme le faisait Einstein à leur passion ou à des projets personnels.
Est un slasheur au long cours, un job hopper, un “bifurcateur” professionnel, un champion du monde de la reconversion.
STOP aux croyances limitantes, les préjugés, les freins et place à la liberté et la tolérance !
Le phénomène du slashing gagne du terrain.
Le slashing, c’est super, mais c’est impossible à déployer dans les grandes organisations
Le slashing, c’est la porte ouverte à l’uberisation du travail, c’est dangeureux !
Si on permet à un collaborateur de slasher, le risque c’est qu’il parte quand il aura développé sa seconde activité !
Pas facile de travailler avec un touche-à-tout instable !
Le problème c’est qu’un slasheur n’est spécialiste de rien !
Le slashing rien de très nouveau, la polyactivité a toujours existé !
Encore un effet de mode qui va faire pchit !
Le slashing, c’est la porte ouverte à la surcharge mentale, au stress et donc au burn out.
Via un offre employeur à offrant un cumul d’activités favorisant un équilibre global.
Via une capacité à rencontrer les divers talents des collaborateurs et de leurs potentiels.
Via une offre employeur évolutive et alignée sur l’évolution de leurs besoins et aspirations.
Via la mise en synergie de différentes activités et compétences communes aux polyactifs.
Via le développement de l’agilité des talents et de l’organisation de l’activité.
Via un projet professionnel choisi, personnalisé et évolutif, construit en fonction de différents critères personnels.
Via une activité complémentaire en lien avec un centre d’intérêt, une passion,…
Via la possibilité de reconfigurer le parcours au fil des différentes évolutions personnelles et professionnelles
Via une diversité de tâches, source de créativité et d’innovation.
Via l’accès à des compléments de revenus, apportant une plus grande stabilité financière.
Via l’assurance d’avoir au moins une activité rémunératrice en cas de perte de l’autre.
L’univers du slashing, une approche avant-gardiste du travail qui repense les paradigmes traditionnels pour embrasser la flexibilité et la diversité professionnelle.
Le slashing permet aux entreprises de s’adapter à leur culture unique tout en favorisant une biodiversité professionnelle et personnelle. Nous abordons les enjeux sociaux, économiques et écologiques actuels, en cherchant un équilibre « tête, cœur, corps » qui réponde aux mutations du travail et aux aspirations personnelles. Découvrez comment le slashing peut enrichir à la fois votre environnement professionnel et personnel.
Sortir des oppositions entre : subi/choisi ; salarié/indépendant ; dedans/dehors ; pro/perso ; bien-être/performance ; compétences/appétences, etc.
Permettre à chaque entreprise en fonction de sa culture et de ses spécificités de déployer le slashing en interne.
Favoriser la biodiversité professionnelle et personnelle dans un équilibre global “tête, cœur, corps”.
Prise en compte des enjeux sociaux, économiques, sanitaires, écologiques ; des mutations du travail ; de l’évolution des aspirations personnelles, etc.
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